#metoopolitique
Xavier Brunschvicg lance l'alerte et porte plainte contre Sandrine Rousseau : tout n'est pas permis en politique !
Sandrine Rousseau porte des accusations infondées et instrumentalise la lutte contre les violences faites aux femmes à des fins partisanes. Une attitude irresponsable qui porte atteinte à un juste combat et aux véritables victimes. Xavier Brunschvicg porte plainte et décide de lancer l’alerte sur les dérives du débat public.
1er article et enquête sur cette affaire à lire sur le site de L’Express ici.
Et avant de vous faire une idée ou de porter un jugement, merci de lire cette page web avec toutes ses annexes.
Je publie TOUS les documents. 100% transparence.
POURQUOI PORTER PLAINTE
ET PRENDRE LE RISQUE DE S’EXPOSER ?
Quand vous faites l’objet d’un #metoopolitique, vous avez tout intérêt à faire profil bas et à laisser passer l’orage… Toutes les personnes à qui j’ai demandé conseil m’ont exhorté au silence et à la discrétion. Et il faut bien le reconnaître : quand une personne est ainsi plongée dans l’opprobre, il est rare qu’elle en sorte indemne… J’ai néanmoins décidé de ne pas me taire et de prendre le risque de porter cette histoire sur la place publique. Pour 5 raisons.
- Parce qu’il faut lancer l’alerte !
Tout n’est pas permis en politique. J’en ai assez de la politique du caniveau, des insultes, des accusations non fondées, de la mauvaise foi et de l’hystérisation du débat public. Je ne me résigne pas et il est hors de question que je laisse passer de telles accusations. Je préfère lancer l’alerte. - Parce que je suis féministe et que je soutiens le #metoopolitique !
Je me suis toujours revendiqué du féminisme. Un féminisme universaliste et non essentialiste. De même, je suis antiraciste et mon engagement politique est né de ma révolte contre toute forme de discrimination. En m’accusant de #metoopolitique, Sandrine Rousseau instrumentalise à des fins partisanes et dévoie une cause à laquelle pourtant j’adhère et que je soutiens. En agissant ainsi, elle décrédibilise un juste combat et la parole des victimes. - Parce que je suis empêché politiquement !
L’accusation dont je suis l’objet me vaut d’être « sous enquête » de mon parti politique, le PS. Alors que je n’étais même pas cité dans l’accusation de Sandrine Rousseau, le 1er Secrétaire Fédéral du PS Calvados, Arthur Delaporte, a en effet jugé opportun de remonter cette publication au national, sans même me permettre de m’expliquer, en précisant que c’était moi qui étais visé. De fait, et sans « absolution » du PS, procédure qui peut prendre des mois, je suis empêché politiquement car je ne peux être investi aux élections législatives. Merci camarade… - Parce que je refuse de mener campagne avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête !
La meilleure défense, c’est l’attaque. Si je n’avais pas décidé de porter moi-même cette affaire sur la place publique, j’aurais pris le risque de la voir ressurgir en pleine campagne. La bonne vieille méthode des boules puantes… J’aurais alors été sur la défensive, obligé de me justifier et de réagir. La mort politique. Je préfère anticiper, crever l’abcès et être à l’initiative. - Parce que je fais confiance aux médias !
Mon sort politique dépend désormais du traitement médiatique. Si les médias se contentent de relayer les accusations de Sandrine Rousseau, je suis mort. Si, comme je l’espère et le crois, ils font leur travail, lisent les documents que je publie et sont honnêtes, alors je serai reconnu dans ma probité et aurai fait œuvre utile pour la démocratie et le débat public.
ALORS AVANT D’ÉCRIRE QUOI QUE CE SOIT OU DE PORTER UN JUGEMENT,
QUI QUE VOUS SOYEZ, MERCI DE LIRE EN INTÉGRALITÉ ET AVEC LA PLUS
GRANDE ATTENTION LES DOCUMENTS ET ANNEXES QUE JE PUBLIE ICI.
JE SUIS 100% TRANSPARENT.
A VOUS D’ÊTRE 100% HONNÊTE.
LES FAITS
Une réunion publique sur « Les femmes en politique », organisée à l’initiative de EELV, du PS et de la Gauche citoyenne-Ifs, s’est tenue à Mondeville (Calvados) le mercredi 1er décembre 2021. A cette occasion, devant plus d’une centaine de personnes, Sandrine Rousseau s’est exprimée sur la place des femmes en politique et sur les mécanismes empêchant leur juste représentation.
J’ai ensuite pris la parole lors des questions pour dire que j’étais féministe et engagé dans ce combat. J’ai également dit que, comme de nombreux hommes aujourd’hui, je partageais équitablement les tâches domestiques avec ma femme, l’éducation des enfants et que je n’avais par conséquent pas le sentiment de devoir être « déconstruit » tout en reconnaissant que je n’avais peut-être pas conscience de reproduire des mécanismes de domination.
Le lendemain, sur Facebook, Sandrine Rousseau (qui compte plus de 10 000 abonnés) partage une publication dans laquelle elle m’accuse (sans me nommer) d’avoir demandé à une « collègue » (de travail ? militante ?) de lui envoyer une photo de son torse nu, parlant de cynisme, d’impunité et signant sa publication du hashtag #metoopolitique.
#metoopolitique a été créé suite à une tribune publiée dans Le Monde le 15 novembre 2021. Il vise à dénoncer les violences sexistes et sexuelles perpétrées par des élus ou personnalités politiques et à les écarter de la vie publique au nom de l’intérêt général.
UNE ACCUSATION GRAVISSIME ET SANS FONDEMENTS
Aucun élément ne permet d’accréditer les assertions de Sandrine Rousseau concernant une quelconque violence sexiste ou sexuelle faite aux femmes. Cette accusation est donc mensongère et diffamatoire.
Les faits évoqués ont en réalité été rapportés à Sandrine Rousseau par Valérie Harel, militante syndicale, décroissante et féministe, brièvement encartée chez EELV pour participer à la campagne de Sandrine Rousseau, et qui était ma binôme lors des élections départementales de juin 2021 sur le canton de Bayeux. Valérie Harel avait déclaré, comme moi, qu’elle souhaitait se présenter aux élections législatives de juin 2022. Par ailleurs, Valérie Harel était présente à la réunion du 1er décembre et est restée sur place à l’issue de la réunion, pour pique-niquer avec Sandrine Rousseau et plusieurs militants EELV.
J’ai appelé Valérie Harel pour avoir des explications. Cette dernière m’a répondu qu’elle n’était pas responsable des publications de Sandrine Rousseau. Elle a également reconnu qu’elle lui avait dit lors de la soirée du 1er décembre que j’avais envoyé une photo de moi torse nu sur un groupe WhatsApp réunissant les militants de la campagne des départementales, en demandant sur le ton de la blague à Valérie d’en faire autant. J’ai effectivement envoyé cette photo sur un fil de discussion public sur lequel les militants étaient en train de plaisanter en évoquant l’opportunité de poser nus pour que leurs programmes soient davantage lus par les électeurs. Il s’agissait d’une blague de campagne et en aucun cas d’une forme de pression, de sexisme ou de harcèlement comme on peut le constater dans les documents en annexe. La réponse de Valérie Harel à l’envoi de cette photo était, elle aussi, empreinte de légèreté et de dérision. Ne disait-elle pas que « Les seins sont plus vendeurs. C’est scientifique » ?
Cela suffit-il pour accuser un homme de sexisme et de violences sexuelles, le hashtag #metoopolitique utilisé dans la publication de Sandrine Rousseau ayant justement été créé à cet effet ? Tous les moyens sont-ils bons en politique pour discréditer un concurrent ?
QUELLES SONT LES MOTIVATIONS DE SANDRINE ROUSSEAU ?
Difficile d’affirmer avec certitude les raisons de cette diffamation gravissime. Plusieurs hypothèses peuvent néanmoins être envisagées (l’une n’excluant pas l’autre).
- Faire le buzz
Afin de créer la polémique et d’événementialiser sa réunion publique, Sandrine Rousseau « balance un SCUD » pour faire parler d’elle et accréditer la légitimité de ses combats (que je partage pourtant). Et tant pis pour la vérité et les conséquences d’une telle assertion. L’important, c’est de faire parler de soi… La politique spectacle portée à son paroxysme, au détriment du fond et d’une juste cause. - Essentialiser les hommes.
Pour Sandrine Rousseau, tout homme non « déconstruit » est un rouage du système patriarcal et est à ce titre responsable des mécanismes de domination dont sont victimes les femmes.
Pour Sandrine Rousseau, il n’y a pas DES HOMMES, avec leurs personnalités, leurs parcours, leurs qualités ou leurs défauts, voire leurs failles. Non, il y a L’HOMME, obligatoirement libidineux, dominant et violent. Tout homme non « déconstruit » serait ainsi une cible légitime. - Discréditer un concurrent.
Tout le monde le sait, la situation est parfois tendue entre les écologistes et les socialistes. La concurrence sera sévère pour les investitures législatives et pour la répartition des circonscriptions en cas d’accord de rassemblement de la gauche et de l’écologie (rassemblement pour lequel je milite).
En portant de telles accusations, Sandrine Rousseau essaie peut-être de m’éliminer en tant que concurrent de EELV. Il est vrai que j’ai réalisé une belle campagne lors des départementales, que je continue à labourer le terrain sans discontinuer, que je suis présent dans les médias locaux, que je publie des tribunes et des vidéos, que j’ai rédigé une profession de foi de 8 pages envoyée aux 137 maires de la circonscription etc.
Quelles que soient les motivations de Sandrine Rousseau, ses agissements sont irresponsables et inacceptables.
Tout n’est pas permis en politique et la fin ne justifie pas les moyens.
Je tiens néanmoins à souligner que je ne tiens pas pour responsables de ces actes l’ensemble des militants écologistes qui défendent, sincèrement et légitimement leurs convictions et avec lesquels, sur le terrain, je souhaite travailler et construire un large rassemblement.
QUELLES CONSÉQUENCES ?
L’accusation calomnieuse a été portée par Sandrine Rousseau sans me nommer directement. Mais personne n’est dupe ! En particulier les plus de 100 personnes présentes lors de la réunion.
D’ailleurs, Arthur Delaporte, 1er Secrétaire fédéral du PS Calvados, a très bien compris que c’est moi qui étais visé. Il a transmis la publication de Sandrine Rousseau, dès qu’il en a eu connaissance, à Cécilia Gondard, Secrétaire nationale du Parti Socialiste à l’égalité Hommes / Femmes pour qu’une « enquête » soit diligentée à mon encontre, et ce sans même prendre le temps d’entendre mes explications. Une conception assez étrange du courage en politique et de la camaraderie entre militants. A moins que cette attitude particulièrement zélée soit motivée par la volonté d’écarter un militant trop actif, un rival potentiel trop indépendant d’esprit et dont la ligne sociale-démocrate apparaît trop critique vis-à-vis de la direction nationale du Parti Socialiste à laquelle appartient Arthur Delaporte (Secrétaire National Ripostes et argumentaires). Il reste tellement de militants au PS. Un de plus un de moins…
Ainsi je vois mon honneur et ma réputation gravement mis en cause auprès des militants de la gauche et de l’écologie dans le Calvados, ce qui pourrait avoir des conséquences quant à l’investiture à laquelle je prétends pour les législatives sur la 5ème circonscription du Calvados (Bayeux).
« Diffamez, diffamez, il en restera toujours quelque chose ». Il s’agit de méthodes honteuses qui rappellent de tristes époques de notre histoire et qui sont d’autant plus scandaleuses qu’elles émanent d’une responsable d’un parti politique qui prétend incarner une certaine éthique.
Après réflexion et concertation, j’ai décidé de porter plainte pour diffamation le 3 janvier 2022 et de saisir la Procureure de la République de Caen.
Je souhaite prendre les devants et porter moi-même ces accusations à la connaissance du grand public afin d’engager un débat de fond. Contrairement à Nicolas Hulot qui n’a jamais souhaité être confronté aux femmes qui l’accusent de violences sexuelles, je souhaite répondre publiquement et de façon contradictoire à ces accusations.
Je suis parfaitement conscient du risque médiatique et politique que je prends, le sujet étant d’une extrême sensibilité et les « accusés » étant presque systématiquement voués à l’opprobre. Je préfère ainsi faire preuve d’une transparence absolue et désamorcer toute « boule puante » que mes concurrents politiques pourraient être tentés d’instrumentaliser à des fins partisanes.
Je rappelle mes engagements féministes anciens et constants ainsi que mon soutien aux femmes victimes de violences sexistes et sexuelles. Je proclame que je soutiens le hashtag #metoopolitique et encourage les femmes à dénoncer les agresseurs sexuels. Je m’inquiète que le dévoiement de cette cause et son instrumentalisation à des fins partisanes décourage les vraies victimes de prendre la parole.
Je ne recherche ni le conflit ni l’adversité. Mais je ne les crains pas et défendrai toujours, en toutes circonstances, mes convictions. Je fais partie d’une génération qui veut profondément renouveler les pratiques politiques. Je considère que c’est le débat d’idées qui doit primer, que l’éthique et la sincérité sont fondamentales et que tout n’est pas permis en politique.
CONCLUSION
Ces pratiques sont inacceptables et avilissent la politique.
Elles reviennent à inverser la charge de la preuve. Ce serait ainsi à l’accusé de prouver son innocence et non plus à l’accusateur de prouver la culpabilité de l’agresseur. Une violation flagrante de l’État de droit et de nos principes démocratiques.
Elles ouvrent la voie à toutes les dérives, à la délation et à toutes les accusations gratuites et sans fondement.
Elles décrédibilisent le juste combat des femmes ET des hommes contre les inacceptables violences sexuelles dont sont victimes de trop nombreuses femmes.
Malgré tous les risques que cela comporte, J’ai décidé de prendre la parole pour lancer l’alerte sur les dérives du débat public et réaffirmer que non, tout n’est pas permis en politique !
ANNEXES ET PIECES JUSTIFICATIVES
100% TRANSPARENCE !
Échanges avec Valérie Harel
Échanges sur le groupe WhatsApp des militants de la campagne départementale à Bayeux le 18 juillet 2021
avec la photo mentionnée par Sandrine Rousseau.
Échanges avec Arthur Delaporte après qu’il ait informé Xavier Brunschvicg qu’il avait saisi la Commission nationale « égalité Hommes / Femmes » du PS. A ce moment, Xavier Brunschvicg n’avait pas encore retrouvé la photo mentionnée par Sandrine Rousseau.
Le 3 décembre 2021
Message envoyé par Xavier Brunschvicg le 11 décembre 2021 à Cécilia Gondard, Secrétaire nationale à l’égalité Femmes / Hommes, à ce jour sans réponse.
Bon courage Xavier,
Je ne doute pas un instant de ta probité.
Amicalement,
Jerome
Merci Jérôme. Histoire de fous mais tellement emblématique de notre époque…
De ces pseudo-triomphes instantanées pour les uns, posté via les réseaux sociaux, face au temps long de l’honnêteté et la vérité… Comme en sport à la fin sait toujours qui gagne, et ça ne changera jamais, jamais.
Si certain te cherche comme tu dis, moi je t’ai trouvé.
Confiance et admiration pour tes engagements Xavier.
Pierre
J’ai toujours cru que les femmes ne pouvaient pas inventer des faits de harcèlement. Mais connaissant bien Xavier Brunschvicg et apres lecture de la chronologie des événements quelle déception. Déception du comportement d’une femme (Sandrine Rousseau) qui décrédibilise la parole de futures « vraies » femmes harcelées
Déception de voir de tels coups bas politiques qui decrebilisent l’ensemble du monde politique
Bon courage Xavier et je pense que tu as raison de te battre pour toi, pour les femmes et pour une autre vision de la politique
J’ai toujours cru que les femmes ne pouvaient pas inventer des faits de harcèlement. Mais te connaissant bien Xavier et apres lecture de la chronologie des événements quelle déception. Déception du comportement d’une femme (Sandrine Rousseau) qui décrédibilise la parole de futures « vraies » femmes harcelées
Déception de voir de tels coups bas politiques qui decrebilisent l’ensemble du monde politique
Bon courage Xavier et je pense que tu as raison de te battre pour toi, pour les autres femmes (qui ne ressemblent pas à SR!) et pour une autre vision de la politique
J’ai toujours cru que les femmes ne pouvaient pas inventer des faits Déception du comportement d’une femme (Sandrine Rousseau) qui décrédibilise la parole de futures « vraies » femmes harcelées
Déception de voir de tels coups bas politiques qui decrebilisent l’ensemble du monde politique
Bon courage Xavier. Je pense que tu as raison de te battre pour toi, pour les autres femmes (qui ne ressemblent pas à SR!) et pour une autre vision de la politique
Bonjour et courage à toi.
Hélas, les débats publics n’existent plus vraiment. Absences de cultures, qu’elles soient politiques, syndicales, societales…
De plus, dans une période en effet compliquée les argumentaires ne peuvent guère être simples, courts, et cela s’accommode mal des réseaux » sociaux ».
L’heure est davantage à la fois aux esprits de » boutique » ( avec volontés hégémoniques) et aux attaques de personnes, même si elles n’ont aucun fondement réel.
Dans ce contexte, il est patent que EELV Calvados aurait plutôt tendance à exceller.
Tu souhaites une investiture aux législatives sur une circonscription qu’EELV veut, tu constitues un obstacle il faut donc « t’abattre », te » démonétiser », te » tuer » pour reprendre ces termes actuels du langage politique.
Cela rappelle une période bien sombre de l’histoire avec cette notion » plus le mensonge est gros, plus il a des chances de prendre.
Je pense que tu as raison pour ta plainte et Bravo à toi pour t’opposer à ces lamentables pratiques.
Courage, c’est très difficile à vivre.
Soutien.
Jean-Michel JULIENNE.
Merci Jean-Michel.
Il faut te battre ! Ces mouvements prennent trop d’ampleur, et divulguent à la vitesse de la lumière des accusations non vérifiées et souvent infondées.
Des coups bas via sms, tweets, whatsap … tout le monde avance masqué…
Je suis sidérée par ce que je viens de lire, scandalisée. Tout est permis pour faire parler de soi, pour abattre ceux qui dérangent.
Je te connais Xavier depuis quelques années. Tu es provocateur, tu n’écoutes pas toujours les conseils que l’on te donne, tu es cash et ça me plaît, tu es surtout un infatigable militant qui foisonne d’idées pour faire entendre notre cause commune. Tu travailles beaucoup. Avec ton dynamisme, tu nous entraînes et j’ai conscience que sans toi Saint-Cloud Rive Gauche n’existerait plus. Pour tout cela, je te dis merci merci mille fois. Jamais au grand jamais, tu n’as été équivoque dans ton comportement ou dans tes propos concernant les femmes.
Je tiens à t’apporter mon soutien et t’assurer de mon amitié.
En te lisant je me suis rappelée pourquoi j’avais tant aimé travailler à tes côtés. S’obliger à réfléchir, ne pas se laisser porter par la facilité, aller toujours plus loin et débattre, argumenter pour faire avancer les projets et les idées ! Alors Merci pour ces moments