Si nous habitons à Saint-Cloud, c’est que nous l’avons pour la plupart choisi, que nous aimons cette ville, sa douceur de vivre, sa situation géographique, son cadre de vie… Doit-on se contenter de ce que nous avons ou doit-on chercher à améliorer les conditions de vie de ses habitants ? Malgré ses nombreux atouts, rappelons que Saint-Cloud, en 2018, c’est :

  • Toujours pas de fibre optique dans toute la ville, notamment les zones pavillonnaires.
  • Un site internet qui date du XXème siècle.
  • Toujours pas d’accès internet dans l’ensemble des salles de classe.
  • Des chaussées et des trottoirs défoncés.
  • Une ville sanctionnée par l’Etat qui l’a placée sous tutelle (« état de carencement ») en raison du non-respect de ses obligations en matière de logement social.
  • Des séjours de vacance insuffisants pour les enfants.
  • Des escalators systématiquement en panne à la gare.
  • Toujours pas de Dojo pour les arts martiaux.
  • Presque pas de pistes cyclables.
  • Un nombre d’ATSEM en maternelle pour aider les enseignants qui a été drastiquement diminué.
  • Un manque de moyens flagrant dans la mise en œuvre des rythmes scolaires.
  • Pas de lieu d’accueil pour les jeunes.
  • La couverture des tennis des Coteaux promise depuis des années mais toujours pas réalisée.
  • La rénovation du marché des Avelines au point mort.
  • Toujours pas de budget participatif et un manque cruel de concertation locale.
  • Pas de prime d’achat pour les vélos électriques.
  • Un sous-investissement chronique.

Bref, une majorité municipale qui ronronne, qui considère ses administrés comme une clientèle électorale captive, qui ne se projette pas dans l’avenir et qui manque d’idées.

Et si on changeait ?

 

Catherine Nado et Xavier Brunschvicg

La rédaction

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